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Affichage des articles du août, 2012

Euro Disney flambe en bourse

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Le groupe Euro Disney restait lundi une attraction phare à la Bourse de Paris où le titre a gagné plus de 30%, après s'être envolé vendredi en raison de rumeurs sur son rachat... par la Walt Disney Company (WTC), qui souhaiterait reprendre la main sur sa stratégie.   Contrairement à février 2011 où l'ascension du titre de l'exploitant de Disneyland Paris avait été aussi fulgurante que mystérieuse, cette fois-ci, c'est un article de l'hebdomadaire américain Time qui a allumé la mèche. Vendredi, l'action Euro Disney a fini en hausse de 22,04% à 5,15 euros. Lundi, le titre, habitué à des mouvements spéculatifs brutaux, a brièvement atteint les 40% avant de finir sur une hausse de 32,43% à 6,82 euros, valorisant l'entreprise à quelque 266 millions d'euros. Il cotait 13,50 euros à son lancement en 1989. Selon Time, citant des sources proche

Prise du repos quotidien

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Le repos quotidien de 11 heures consécutives fixé par l’article L. 3131-1 du Code du travail doit être interprété comme prenant effet à la fin du service du salarié. Un salarié, travaillant de nuit et finissant son service à 6h50 le matin, pour le reprendre à 22h, a été sanctionné à la suite de son refus de se rendre à une convocation de la médecine du travail prévue à 8h, heure d’ouverture du service. Les juges du fond ont considéré que l’employeur n’avait pas commis de faute en convoquant le salarié à la visite médicale à l’ouverture du service médical du travail, ce qui lui permettait de bénéficier par la suite de 11 heures consécutives de repos. La Cour de cassation ne retient pas la même interprétation, et considère que l’horaire de la visite médicale privait le salarié de son repos de 11 heures consécutives qui prend effet à la fin de son service. Le repos de 11 heures consécutives prévu par l’article L. 3131-1 du Code du travail prend donc effet dès la fin du

Congé paternité : l'employeur ne peut s'opposer aux dates choisies par le salarié

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L’employeur, régulièrement informé des dates choisies par le salarié pour partir en congé paternité, ne peut ni s’opposer à son départ, ni en exiger le report. Telle est la solution à notre connaissance inédite retenue ici par la Haute Juridiction. À la suite de la naissance de son enfant le 25 juillet 2007, un salarié a, par lettre du 3 août 2007, notifié son souhait de prendre un congé de paternité du 6 au 16 septembre. L’employeur le lui a refusé en raison de la charge de travail et lui a proposé un report du congé pour la période du 8 au 18 novembre. Ayant passé outre ce refus, le salarié a été licencié pour faute grave en raison de son absence non autorisée à compter du 6 septembre 2007. Contestant le bien-fondé de son licenciement, il a saisi la juridiction prud’homale. L’employeur fait grief à l’arrêt de dire le licenciement sans cause réelle et sérieuse, alors, selon lui, que si le salarié qui entend faire usage de son droit à un congé de paternité dans les quat

Parce qu'il ne faut pas interdire...

La distribution de notre magazine la Mine ne s'est pas déroulée comme prévu à l'hôtel New York. Parce que nous avons reçu un courrier et parce que nous sommes force de proposition, nous avons répondu. Bonne lecture. Courrier New York 01-08-2012